Dimanche 5 Mars

La lumière a besoin des ténèbres pour exister.

Mardi 7 Mars

Ouin, j'suis trop malheureux,
mais qu'est ce que tu as fais de l'amour que l' on a partagé?
Ton mépris m'as fait mal, encore une fois j'ai baissé ma garde.
Ouin, je suis caliméro et je te déteste pour mes faiblesses.

 

Jeudi 9 Mars

Tu t'es battue pour une maison et de belles robes,
tu en as souffert et en souffres encore.
Je me bats pour une âme plus transparente,
j'en ai souffert et aujourd'hui, je t'aime encore,
j'aime mieux et plus profondément.

---vers 23h

Une réponse donnée à Dieu,
et à une belle amie
le jour ou je te dirais je t'aime,
j'aurais su te voir au fond de moi
et je me serais laissé aller à cette joie,
cette puissance qui rend l'humain égal à Dieu,
mais comme je ne suis pas patient,
et que la vie n'attends pas,
je te le dis ce soir,
bientôt avec mes bras,
je T'aime toi

 

 

Mardi 21 Mars

Après un super week-end,
que dire de plus.
Vu le documentaire sur le bien commun,
Ça fait peur la connerie humaine,
Mais où ne s’arrêteront-ils pas ?
Heureusement,
Le château ambulant du studio Ghibli
a sauvé ma soirée d’hier.
Bonne vie.

--- vers 22h30

euuuuhhhhh...
après quelques questions sur ma petite vie,
je me demande,
une fois tout en haut,
au bout de soi,
là où je ne sais si j’arriverais un jour,
que trouve-t-on ?
Sait-on aimer ?
A chaque seconde ?
Sait-on se pardonner ses erreurs ?
Celles de ceux qui disent nous aimer,
Et nous entèrent pour survivre,
Sans s’en rendre compte ?
Est-ce-que l’amour
que l’on met dans un coup de crayon,
une lettre, un mot, un souffle,
un baiser,
est ce qu’il est reçu ?

-------

Suis-je si mauvais
que je ne mérite que ton mépris ?
Me suis-je aveuglé au point
de ne vouloir voir
que le meilleur de toi ?
Me suis-je trompé sur toi ?
Pourtant tout mon être me dit que non.
Peut-être qu’un jour tu liras ces mots.
Mais il est tard.
Et je suis déjà mort tant de fois
de t’avoir attendue,
de t’avoir dis je t’aime.
Alors oui, ce ne sont que des mots,
mais toi aussi tu m’avais promis.

Dimanche 2 Avril

Nous étions deux,
Je t’aimais,
Mais je n’étais pas toujours heureux,
Aujourd’hui, seul,
Je suis un peu plus heureux de vivre,
Je t’aime toujours,
Mais je n’aime plus.

Des techniques, des gestes,
Des mots, ne suffisent pas
Pour remplir la vie.
La conscience vient et s’en va,
D’une seconde à l’autre,
Mourir,
D’une seconde à l’autre,
Survivre,
Et quelquefois, vivre.

Heureusement,
La connerie me reprend
De temps en temps,
Avant de sombrer de nouveau,
Avant de me souvenir,
Avant de t’en vouloir,
Avant de me reprocher
De n’avoir su me préserver,
Su t’écouter,
Su t’aimer,
Su m’affirmer,
Pour nous.

Lundi 3 Avril

Dominique A: J’ai Tué L’amour

Mardi 4 Avril

Je ne sais pas si je me tire une balle,
ou si, je sais pas…
La fatigue de la grippe à bière sûrement.
Hier soir, « Rencontre avec Forrester »,
bon film.

Le sourire de Laurene, jolie aussi.

 

Dimanche 16 Avril

Il y avait longtemps...
Que j’attends.
Bon ok, elle est facile comme rime,
En fait c’est vrai,
J’attends, constamment,
Que tout me tombe du ciel,
Et le pire,
C’est que ça fonctionne.
Mais il est vrai
Qu’il y a trop longtemps
Que je n’avance pas
Et que j’en suis le seul responsable.
On dit qu’une fois le savoir acquis,
On ne peut revenir en arrière.
Je sais tant et si peu.
J’en devine tant
Au-delà même de cette connaissance,
Et l’intuition me confirme
Chaque jour dans cette direction,
Que reculer est une folie.
Ce serait comme fermer la porte
Au bonheur, à la vie.
Et bien c’est ce que je fais tout les jours.
Etrange cette peur du bonheur
Face à l’euphorie de vivre
Quand on est touché par la Grace.


Mercredi 19 Avril-3h34

Réponse à une affirmation : " fais gaffe je sais tout sur toi maintenant ah ah ah"

ça m'étonnerai,
mais tu peux essayé,
si tu n'as pas peur pour tes neurones
et ton corps,
la douceur est un animal étrange,
on le fuit quand on ne le connait pas,
on tente de le comprendre toute sa vie
quand il nous éclaire par la profondeur
de la puissante présence qu'il dissimule.
"La nature n'aime pas le vide"
C'est pourquoi la plénitude le remplie
et que commence ainsi le cycle de la vie.

Me connaître signifierait te connaitre,
Et tu n'imagines pas le potentiel que tu recèles,
pas encore.
Fermes les yeux et imagines toi percevoir le monde,
L'univers, dans leur globalité, sans jugement,
S'il est chaud, froid, dur, ...
Juste le percevoir, et tu n'es qu'au premier stade,
Comme l'enfant nouveau né,
Peux-tu déjà imaginer plus?
Je pense, il suffit d'écouter ce qui nous traverse
Après une bonne demi-bouteille de rouge...

 

Mercrdei 17 Mai

Avec seulement quelques mots,
j’aimerais soulager ces épaules.
Avec seulement quelques notes
de crayon, embrasser son front.

Offrir une fleur de quelques lignes
à celle qui fleurissait mon esprit,
qui inondait mes nuits.
De ces fleurs qui grandissent
au soleil d’un sourire.

De ces fleurs qu'un je t'aime épanouit.